One for the sorrow, Two for mirth.
Un, ce sont les mauvaises nouvelles (Erika Minkevičiūtė, ou no-joy).
Deux, c’est la gaieté (Stéphane Kiehl).
Trois, c’est un mariage (Ruedi Baur).
Quatre, c’est une naissance (Stéphane Tartelin).
Cinq, c’est la richesse (Stéphane Tartelin bis, on a le droit quand on aime^^).
Six, c’est un voleur (Tinho, alias Walter Nomura, extrait de son expo à la super déviantement tendancieuse galerie grenobloise Space Junk).
Sept, c’est un voyage.(Betsy Walton)
Huit, c’est la souffrance (Stasys Eidrigevicius, il est polonais donc a un nom compliqué -je sais, c'est pas vraiment lié- mais c'est un génie, ça c'est sûr).
Neuf, c’est un secret (Yuka Yamaguchi)
Dix, c’est le chagrin (Paski, même si c'est pas vraiment son genre habituel).
Onze, c’est l’amour (Sarah Joncas).
Douze, c’est la joie pour demain (Ange Andrianavalona, ou Petit Crayon pour les intimes).
J'ai fini mon contrat, mais les images demeurent. Mes pérégrinations professionnelles seront bientôt exposées en d'autres lieux mais pour commencer le concept, comptons les corbeaux et promenons-nous !