7 septembre 2007
Métaphores d'un été (2)
Chaque fois que je montais travailler là haut, cette porte là me faisait comme rentrer chez Poe.
J'ai aimé la rupture, l'alternance, les bras qui soulèvent et toute l'eau qui s'en va, la saine fatigue, à alterner avec l'écran la nuit qui brille de toutes ces phrases qui se sont écrites avec peine et passion, insatisfaction de tout ce qui reste dans mes notes et ne sera pas lu, pas encore. C'est normal, bien sûr que c'est normal, l'insatisfaction, la frustration, les mémoires de fin d'étude sont fait pour ça. Et ça n'est même pas fini.
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